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Le carré militaire d’Asnières-sur-Seine.

Ci-dessous un article sur le carré militaire d’Asnières – Extrait du blog de la délégation général des Hauts-de-Seine (20/09/2009) –

Le cimetière d’Asnières-sur-Seine comporte plusieurs emplacements de sépultures de Morts pour la France. Il convient d’abord de citer le monument « Asnières à ses martyrs » dédié aux victimes de la barbarie nazie pendant les années de l’Occupation. Ce monument est prolongé de quelques dix-neuf stèles :

– Stanislas Liziecki, 37 ans – 1942.
– Mossek Rotzach, 33 ans – 1942.
– Robert Poing, 19 ans – 1942.
– un inconnu, décédé en 1942.
– Maurice Laisney, 21 ans – Le 8 juillet 1942.
– Marceau Delorme, 34 ans – Le 21 septembre 1942.
– Louis Melotte, 33 ans – Le 2 octobre 1943.
– Edmond Fantin, 39 ans
– Lucien Micaud, 19 ans – Le 21 octobre 1942.
– Maurice Pellerin, 17 ans – Le 21 novembre 1942.
– Gabriel Delbonnel, 43 ans
– Louis Vion, 38 ans,
– Roger Poncelet, 24 ans– Le 23 octobre 1943.
– Emile Agier, 49 ans – Le 20 novembre 1943.
– André Deveze, 34 ans – Le 12 février 1944.
– Dr René Dervaux, 34 ans – Le 7 mars 1944.
– André Cayron, 24 ans – Le 20 mai 1944.
– Georges Janin, 42 ans – Le 11 juillet 1944.
– Bernard Jugault, 32 ans – Le 21 août 1944.

Au centre se trouve le carré militaire (photographie ci-dessous, mais également dans le bandeau de notre blog du SF d’Asnières) où est inscrit l’ensemble des morts pour la France de la Première Guerre mondiale – plusieurs centaines de noms – ceux de la Seconde Guerre mondiale, de l’Indochine et des combats AFN. Bien entendu, comme dans chaque village et chaque ville de France, nous notons pour les combats de 1914-1918 les noms de plusieurs membres de la même fratrie.

Ce monument est encadré de près de 180 tombes individuelles, toutes guerres confondues, où se côtoient aussi bien l’adjudant François, du 6ème Commando laotien, mort en Indochine, que le maréchal des logis Riller, du 1er Chasseur d’Afrique mort en Algérie, ou encore le lieutenant Bouchaud, du 31ème d’Infanterie coloniale, tombé au champ d’honneur en 1914. Enfin, une tombe rassemble les restes de vingt soldats et Gardes nationaux tués en 1870-1871.

Plus loin, de l’autre côté du cimetière par rapport au monument dédié à la mémoire des martyrs, se trouvent près de 35 tombes de victimes civiles de la Seconde Guerre mondiale

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